Depuis quelques jours, nous assistons, impuissants, à des violences urbaines effrayantes. Paris est le devenu le théâtre de véritables scènes de guérilla: attaques contre les forces de l’ordre, dégradations et destructions de biens publics, avec en point d’orgue l’assaut contre l’hôpital Lariboisière…expression insupportable d’un endoctrinement aveugle et d’une haine manifeste de la France.
La cause de ces manifestations de violence? Le conflit israélo-palestinien.
Pourtant, la France n’a rien à voir dans ce conflit. Paris n’est pas Gaza.
Alors même que nos concitoyens souffrent du chômage, de la hausse des impôts, La
France est prise en otage par un conflit qui n’est pas le sien!
Il est aujourd’hui difficile pour la gauche morale ou la droite bien-pensante de s’en cacher: l’immigration massive que subit la France depuis 40 ans n’est pas une chance mais bien la cause de ces scènes de guérilla urbaine.
Ces drapeaux rouges et verts, qui émergent des cortèges de manifestants, c’est à Gaza qu’il faudrait les porter. Ces slogans haineux appelant à l’Intifada, c’est à Gaza qu’il faudrait les crier.
L’Intifada? C’est à Gaza qu’il faut l’assumer.
De leur côté, nos responsables politiques assistent mollement à ces déferlements successifs de violences hystériques, perpétrées malgré l’interdiction de manifester posée par les autorités publiques françaises…
Avec ce chaos, généré par leur rêve d’une cohabitation pacifique et idéale, nos gouvernants nous infligent la libanisation de notre pays et importent sur notre sol un conflit extra-européen auquel se mêle la haine de la France et des Français !
Dans le même temps, les musulmans de l’État Islamique en Irak et au Levant (EIIL) imposent aux chrétiens de Mossoul de choisir entre la conversion à l’Islam, la dhimmitude, ou la mort.
Dans l’indifférence totale de nos dirigeants….
Face à cette réalité, les appels à la tolérance deviennent une sinistre plaisanterie.
Aux manifestants, nous disons:
Vous défendez la cause palestinienne? Vous pouvez manifester à Gaza.
Il ne s’agit pas en effet d’entraver ceux qui font le choix de partir défendre la cause palestinienne. Mais c’est alors pour ne plus revenir…
Leur choix ne peut pas se faire au détriment de l’intérêt supérieur de la Nation française.
Notre Code de la nationalité prévoit une déchéance de la nationalité française. Avec impossibilité de pouvoir la recouvrer…
Pourquoi ce dispositif n’est-il jamais appliqué?
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