La manifestation de solidarité avec les Maires proposée par M. Isnard, président de l’Association des Maires de France, n’est pas à la hauteur de la gravité des évènements.
Nous trouvons que l’heure n’est plus aux marches blanches après les assassinats, les viols et les pillages qui se déroulent en France depuis 40 ans.
Les bougies, les peluches, les rassemblements, les marches, les manifestations de solidarité font rigoler les criminels. Comme l’a dit un ex-président de la Ve République (et Dieu sait qu’ils en ont dit beaucoup) : « la peur doit changer de camp ».
C’est vrai, la peur doit changer de camp. Et pour cela, les règles doivent changer. Radicalement.
Le criminel ne doit plus être le chouchou de l’État et de la Loi. Il faut établir, au contraire de ce qui est fait aujourd’hui, qu’il n’existe pas de droits sans devoirs. Que les droits se méritent. Que sans devoirs exécutés, il n’y a plus de droits.
Les règles traditionnelles ont été totalement inversées. Il faut donc refaire une révolution qui remette le bon sens à ce fléau.
Car les bonnes intentions aux affaires depuis 50 ans ont fait la preuve de leur perversion.
La nationalité n’est pas un droit, il faut la mériter. L’accueil n’est pas un droit, il se mérite. Les aides sociales de la France et des Français ne sont pas un droit, il faut les mériter.
Hors du bon sens, point de solution pour les Français.