Ils haïssent Éric Zemmour d’une haine recuite, caricaturale et souvent totalitaire. Ils le haïssent d’abord parce qu’il devrait être comme eux : journaliste, star de la télé, homme de réseaux, Zemmour a les deux pieds dans le système. Alors les vestales s’exaspèrent. Ainsi Libération ce matin : « Il a plus que jamais un goût de moisi ». A croire que l’on est toujours la moisissure de quelqu’un.
Le tort du polémiste ? Ne pas se plier devant les Cohen et autres Bourdin qui vitupèrent contre la vision de l’islam de l’auteur d’un Quinquennat pour rien. Edwy Plenel, passe encore, mais Zemmour, surtout pas ! La presse de l’oligarchie est d’un fétide… Elle est oublieuse de neuf millions de pauvres qui souffrent dans notre pays. Elle est crâneuse, parce que ses journalistes s’organisent en contre société. Elle est partisane, parce qu’appréciée par les puissances de l’argent.
Nous serons ravis d’ennuyer ce petit monde en nous rendant à l’Espace Daudet le 3 novembre prochain.