Je suis maire, 1er vice-président d’intercommunalité, député. J’ai été élu conseiller départemental et conseiller régional. Je milite depuis mes plus jeunes années. Jamais, je n’aurais imaginé qu’un collectif communautaire puisse disputer de ma légitimité à exprimer les souffrances de notre peuple. A moins que cet organe envisage de faire primer les intérêts communautaires sur la représentation de l’intérêt national. Ce qui n’est pas exclu en ce qui concerne le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF).
J’ai pris connaissance des péroraisons de cette association sur les sites « pages halal », tout un programme… La rhétorique employée est caractéristique à plusieurs endroits.
Le CCIF m’accuse d’islamophobie parce que je dénonce les Frères Musulmans, la participation étrangère dans l’influence islamique sur notre territoire, l’opacité du financement du culte musulman dans certains endroits comme dénoncé dans un récent rapport du sénat (rapport d’information n°345 du sénateur Pierre Maurey). Est-ce être islamophobe que de défendre la France contre l’influence de puissances étrangères ?
D’après cette coterie, je donnerais souvenance des « heures les plus sombres de notre histoire », c’est pourtant le général de Gaulle lui-même qui ne voulut pas que son village s’appelât Colombey-Les-Deux-Mosquées…
Enfin le CCIF me désigne comme : « cet individu haineux qui ne représente en rien les français, ni les valeurs de la République. ». Je demande donc au CCIF comment il a obtenu le privilège, bien peu républicain, d’octroyer les attestations de représentation de la France et des Français ?
Je rappelle que ce genre d’association vit le jour suite à une manipulation de la Gauche et de François Mitterrand pour tendre les rapports sociaux dans notre pays. Décidément, cette stratégie fonctionne à merveille.