Jacques Bompard en première ligne

Jeanne d'ArcIl faut le dire très haut : il y en assez ! Le peuple français n’est pas un bétail que les islamistes pourront abattre à chaque coin de rue. Qu’ils soient dessinateurs, petits patrons, spectateurs de concerts, amateurs de terrasses de cafés, policiers, vigiles, soldats, écoliers, nos compatriotes ne doivent plus être abattus ou décapités tous les trois mois par des barbares islamistes !

_DSC8141 Il y a des responsabilités qu’il faut poser : comment Christiane Taubira justifie-t-elle qu’un des assaillants ait été mis en examen dans une affaire terroriste ? Comment Bernard Cazeneuve pourrait-il continuer à asséner que prôner le djihad n’est pas un délit ? Cécile Duflot persistera-t-elle longtemps à prétendre que ces gens sont aussi Français que vous et moi ? François Hollande continuera-t-il à mettre sur le même plan Bachar El Assad et les rebelles islamistes Syriens ? Laurent Fabius peut-il vraiment rester en poste alors qu’il a déclaré qu’Al Quaeda en Syrie faisait du bon boulot ? Nicolas Sarkozy, avec ses amitiés avec le Qatar et son intervention catastrophique en Libye, admettra-t-il son immense responsabilité ?

Tous ceux-là doivent répondre de leurs trahisons et de leurs échecs devant le peuple français. Sans cela, nous n’aurions pas à s’interroger sur la légitimité d’un pouvoir qui a failli dans sa principale mission : la protection des Français. Sont-ils à ce point déshonorés qu’il faille leur rappeler que la démission du gouvernement n’est pas négociable : ils sont coupables, incapables, et prévenus. Aucune mesure digne de ce nom n’a été prise après les attentats de janvier dernier. Dans leurs perquisitions nos policiers trouvent de tout : des lance-roquettes, des uniformes de policier… Quelle catastrophe !

Allons au fond des choses. La France est aujourd’hui incapable d’assimiler qui que ce soit. La classe politique a déconstruit toutes les institutions et les médiations fondamentales de notre pays. Les institutions concernent le pays légal, elles sont les organisations qui devraient être au service de la Nation : la Justice, la Police, les Ecoles, les Universités, l’armée. Dans toutes ces institutions, la crise est là : le loueur de l’appartement qui a été ciblé par la police ce matin à Saint-Denis avait été condamné à 8 ans de prison en 2008. Que faisait-il dehors ? Les policiers ont reçu un décret du gouvernement le lendemain des attaques contre Paris leur intimant l’ordre de ne pas charger leurs pistolets ; les écoles ne transmettent plus un savoir mais dévoilent des débats qui minimisent la place de l’ordre et de l’autorité ; l’armée a été démantelée systématiquement depuis 30 ans, à tel point que nous ne pouvons plus conduire une politique indépendante, enfin l’université est captée par les idéologues.

Tous ces éléments signalent un Etat qui n’a plus les moyens de résister à des communautés toujours moins intégrées, toujours plus agressives, toujours plus organisées.

Les médiations, ce sont les éléments fondateurs de la Nation qui permettent aux familles de se solidariser pour constituer la France. Il y a bien une fragmentation de notre communauté nationale, entre des Français de souche qui n’ont plus les éléments fondamentaux de la protection et de la transmission : la famille, le roman national, le patriotisme, la fierté d’être français, et des populations qui les chassent de certaines zones pour y vivre leur religion, leur culture, leur mode de vie. Cela conduit forcément à une confrontation aux niveau communautaire comme individuel.

Nous sommes donc dans une France qui implose tant au niveau de son peuple qu’au niveau de son cadre légal. C’est cet Etat de fait qui explique la désorientation complète de nos services.

Dès lors :

  • personne n’ose fermer les mosquées salafistes,
  • personne n’ose dire que l’arnaque publicitaire des migrants masque une invasion musulmane qui vient encore abîmer l’homogénéité française et européenne,
  • personne n’ose dire que la remigration d’une partie des populations présentes sur le territoire est désormais nécessaire car elles haïssent la France,
  • personne n’ose dire que la France est parsemée de cellules extrémistes dans les transports, dans les chantiers, même dans certaines forces de sécurité, ce qui posent d’énormes problèmes.

Je rappelle qu’il y a quelques semaines l’armée était volée de tonnes d’explosifs à Miramas, sans que le peuple ne soit informé des répercussions, des conséquences.

J’ai proposé des solutions parfaitement claires :

  • la suppression des langues et cultures d’origines,
  • la création d’un moratoire sur la construction de mosquées,
  • l’étude des relations mafieuses entre certaines de nos élites et l’Arabie Saoudite ou les islamistes syriens,
  • la lutte contre le Grand remplacement,
  • enfin la déchéance de la nationalité pour les terroristes.

Il faut d’ailleurs absolument parler de la question de la nationalité, puisqu’aujourd’hui François Hollande et Manuel Valls sont tout à fait bloqués dans leur manière d’aborder la question des islamistes radicaux. Non, on n’est pas Français quand on professe par son accoutrement provocateur, par ses propos, ou par ses trahisons une soumission à des principes qui nous sont absolument étrangers ! Non, on n’est pas Français en vertu d’un papier qui vaudrait excuse en tout temps et en tout lieu.

La France, ce n’est pas un contrat que l’on signe pour toujours, c’est un plébiscite quotidien ancré dans des traditions millénaires, dans une identité forte et chrétienne, dans un héritage qui émerveille le monde entier, et exaspère les fanatiques musulmans.

Un mot enfin sur l’Islam.

L’Islam est un sujet complexe dont je n’ai pas à évoquer la nature théologique. Cependant, il faut rappeler que l’Islam est un projet politique en plus d’une religion, et ce projet n’appartient pas spirituellement à l’Europe comme l’a rappelé heureusement Viktor Orban quand Najat Belkacem remplace l’éducation au Moyen Age par l’histoire du Coran. C’est une question de poids qu’il ne faut pas nier. C’est une question d’autant plus importante quand on sait que plus de 11% des habitants de notre pays ont au moins un parent étranger.

Certaines mosquées sont donc : des lieux connus de radicalisation, financés par des puissances qui soutiennent le terrorisme, et ce parfois avec le soutien de l’État. Comment ne pas s’effrayer alors quand le juge Marc Trévidic annonce : « Clairement, les services n’ont pas les moyens de faire le tri pour savoir qui est réellement dangereux, ou pas. Les enquêtes ne sont pas assez longues, et il n’y a pas assez d’enquêteurs pour les suivre » (juin 2015).

En France on considère qu’il y 2 449 lieux de culte musulman d’après le ministère de l’intérieur. Cela exclut les très nombreuses mosquées officieuses, salles de prières salafistes, etc. En dix ans (jusqu’à 2012), mille mosquées ont été construites en France. Déjà, l’Observatoire du Patrimoine Religieux donnait une moyenne de vingt à trente mosquées par département. Il est évident que sans soutien politique, aux dehors électoralistes, et sans financement étranger, cela n’eût pas été possible. D’ailleurs le Conseil Français du Culte Musulman a demandé en avril 2015 le doublement du nombre de mosquées en France.

Je rappelle qu’il y aurait entre 5 et 7 millions de musulmans dans notre pays. Beaucoup rejette l’horreur commise prétendument en leur nom ; un nombre important ne condamne pas, voire même provoque en allant dans le sens des terroristes. Les survivants des attaques du Stade de France ont été caillassés à Saint Denis ; dans la prison de Fresnes les incarcérés ont même sifflé la minute de silence.

Nous devons agir, nommer les choses et chasser ceux qui en veulent à notre pays. Sinon, tout cela recommencera !

 

Partagez cet article :

Cet article vous plaît ?

Ne manquez aucune de nos actualités en vous inscrivant dès maintenant à notre lettre d’information

Devenez adhérent de la Ligue du Sud !

Le combat est impossible sans vous ! En rejoignant la Ligue du Sud, vous nous permettez de continuer notre combat politique et vous devenez un ambassadeur de nos convictions. Il vous suffit de télécharger notre bulletin d’adhésion et de nous envoyer votre règlement par chèque. Vous bénéficiez d’une déduction fiscale de 66% sur votre don