Alors la « Jungle » de Calais se défait, parcellant le territoire national d’une population allogène traitée avec plus de générosité que ses propres ressortissants, les Français se sont prononcés. A la suite d’un sondage, ils ont été 64% (janvier 2016) à adhérer à la phrase « il y a trop d’immigration dans notre pays ». Un plébiscite, diffusé par l’officine du gouvernement France Stratégie, forcée de faire part d’une opinion populaire ô combien révélatrice de l’écueil de l’actuelle gouvernance.
Une position qui suscite l’approbation chez les voisins européens. Belges, Espagnols, Italiens, Allemands : de toute part, les peuples européens, subissant le contrecoup de politiques aveuglées par une générosité artificieuse et détachées du réel, réfutent avec force le Grand Remplacement que promet l’arrivée massive sur leur territoire de ces populations étrangères. En moyenne, ces cinq pays jugent l’immigration oppressante à un taux atteignant désormais 70.4%.
74% des Français estiment appartenir aux classes inférieures, défavorisées ou pauvres. 73% d’entre eux s’attendent à voir émerger des tensions communautaires dans les dix années à venir. En proie à la paupérisation, sujette à l’inquiétude, la population nationale est harassée par un gouvernement idéologue. Et de l’immense gabegie socialiste, ne demeure plus que l’insatisfaction : 96% de la population s’avère hostile à un Président de la République dont le seul aboutissement aura été la fédération à son encontre.